mardi 24 décembre 2013

"Grossesse et tabac : en finir avec les idées reçues"

Grossesse tabac idées reçuesEst-ce vraiment dangereux de fumer pendant la grossesse ? Puis-je allaiter si je fume ? Il paraît qu'il vaut mieux fumer que d'être stressée, est-ce vrai ? Les femmes enceintes fumeuses ont encore trop peu de réponses concrètes à leurs questions pratiques. Une campagne de sensibilisation a été lancée le 31 mars 2009 dans la région Nord-Pas-de-Calais sur le thème "Allaitement et tabac".
Beaucoup d'idées fausses circulent encore sur l'association tabac et grossesse. En outre, les femmes ne trouvent pas toujours l'aide nécessaire pour un sevrage tabagique, même si de plus en plus de maternités signent la Charte Maternité sans Tabac.

Le tabac, à risque pour les mamans

"La vie en général est évidemment meilleure sans tabac et c'est encore plus vrai pour le moment particulier de la grossesse" annonce le Pr. Michel Delcroix, gynécologue-obstétricien, Président de l'APPRI-Maternité sans tabac en réponse à toutes les idées fausses qui circulent. Premier message à retenir : fumer (quel que soit le nombre de cigarettes) ou être victime de tabagisme passif est toujours nocif pour le développement du bébé. "Une femme enceinte qui fume maltraite son bébé sans le savoir car l'oxygénation ne se fait plus normalement et le bébé se trouve alors en manque d'oxygène avec parfois des intoxications suraigües, causes de lésions cérébrales irréversibles" explique le Pr. Delcroix.
Autres risques encourus par les femmes enceintes fumeuses et leur bébé : saignements, anémies, fausses couches spontanées, accouchements prématurés, retard de croissance... A noter : le tabagisme passif entraîne les mêmes facteurs de risque que le tabagisme actif, d'où l'importance de sensibiliser et inciter les futurs papas à arrêter de fumer. En 2009, la nocivité du tabac pendant la grossesse est scientifiquement démontrée.

Arrêter de fumer, si possible avant 3 mois

"Arrêter de fumer pendant la grossesse et pendant l'allaitement, possible même lorsque l'on fume, est le meilleur comportement à adopter pour son bien-être et celui de son bébé",  affirme le Pr. Delcroix.  A savoir aussi : en finir avec la cigarette à n'importe quel moment de la grossesse est toujours bénéfique et possible, dès lors que l'accompagnement par des personnels médicaux compétents est organisé.
En effet, selon une étude récente réalisée auprès de 2504 femmes enceintes et publiée fin mars dans le British Medical Journal, les bénéfices du sevrage tabagique sont importants même en cours de grossesse : les femmes qui arrêtent de fumer avant la quinzième semaine ont autant de chances d'accoucher à terme (pas de prématurité) de bébés d'un poids normal que celles qui ne fument pas. Par contre si le tabac n'est arrêté qu'après 3 mois, il y a une augmentation du risque d'accouchement prématuré (multiplié par 3) et de petit poids de naissance (doublement du risque).
De plus cette même étude démontre que, contrairement aux idées reçues, les femmes qui ont arrêté de fumer en début de grossesse ne sont pas plus stressées que les non-fumeuses ! Ces résultats rassurants soulignent donc les bénéfices du sevrage tabagique pendant les 3 premiers mois de grossesse, pour le bébé...comme pour la maman !

Un repère : le label ‘Maternité sans tabac'

Néanmoins il n'est pas toujours facile de s'arrêter. "Les femmes qui n'arrivent pas à arrêter de fumer pendant leur grossesse ne sont pas complètement responsables. La responsabilité incombe surtout au corps médical car informées, encouragées et aidées, la majorité des futures mamans fumeuses arrêtent de fumer" déplore Conchita Gomez, sage-femme tabacologue. Mais de plus en plus, le corps médical prend en compte et en charge le problème du tabac chez la femme enceinte. Pour preuve, plus de 350 maternités sur 580 ont signé la Charte Maternité Sans Tabac auxquelles se sont associés une trentaine de centres de périnatalité. Ces maternités représentent déjà près de 300 000 naissances, soit près de 60% des naissances annuelles en France.
Le label "Maternités sans tabac", créé en 2005, offre un cadre professionnel compétent dans l'accompagnement du sevrage tabagique des futures mamans. L'Association Périnatalité Prévention Recherche Information (APPRI) et l'Association Nationale des Sages-Femmes Tabacologues ont mis en place dans ces maternités l'action "100 000 mesures". Une mesure du monoxyde de carbone (CO) est proposée à chaque femme enceinte. Le but ? Informer le personnel, les femmes enceintes et les conjoints des effets du CO contenu dans la fumée de cigarette et de son rôle dans le tabagisme actif et passif.

Une nouvelle campagne pour les mamans  et les soignants

Pour informer toujours et encore les futures mamans fumeuses (22 % des femmes enceintes), la société Family Service(1), les associations de prévention APPRI-Maternité sans tabac et l'Association Nationale des Sages Femmes Tabacologues Françaises ont mis en place une campagne d'information intitulée "J'allaite que je sois fumeuse ou non fumeuse », soutenue par le Ministère de la Santé dans la région Nord Pas-de-Calais. Pour cette campagne de sensibilisation, un DVD "une nouvelle vie sans tabac" qui présente en 13 minutes les dangers du tabac pour la maman et son bébé et un dépliant 8 pages avec double entrée "Cigarettes et allaitement", "Allaitement et cigarettes" seront insérés dans le Dossier Maternité(2). Ces supports sont distribués depuis le 31 mars 2009. 25 000 futures mères devraient en bénéficier, et cette campagne régionale a vocation à devenir nationale.
En attendant la généralisation de cette campagne de prévention,  il sera remis 3000 coffrets avec le DVD «Une vie sans tabac» et un DVD de formation "Le sevrage tabagique pendant la grossesse". à tous les Directeurs d'établissements, Chefs de services et sages-femmes cadres. 4000 affiches de sensibilisation seront distribuées aux maternités françaises, PMI, gynécologues-obstétriciens et sages-femmes libérales pour accompagner les mamans fumeuses dans leur désir d'allaitement.
L'idéal reste d'arrêter de fumer pendant la grossesse, mais si vous n'y arrivez pas, ne vous privez pas d'allaiter si vous le désirez. Et, qui sait, ce moment privilégié sera peut-être l'élément déclencheur du sevrage tabagique ?

Quel sport choisir pendant la grossesse ?

Grossesse et sportCe n’est pas parce que l’on est enceinte que l’on doit demeurer inactive sur le plan physique. Pour autant bien évidemment, il n’est pas question de se livrer durant la grossesse à n’importe quel sport. Avec un peu de bon sens et en respectant quelques règles simples, vous saurez conserver la forme pendant ces neuf mois un peu particuliers.
En fait, tout dépend du terme de votre grossesse. Au premier trimestre, vous pouvez à peu près tout vous permettre. Après, soyez un peu plus prudente. Si vous n’avez jamais fait de sport, ce n’est certainement pas le moment non plus pour décider de vous y mettre intensivement dans le but illusoire de conserver une silhouette la plus harmonieuse possible. Inutile et dangereux !
En revanche, si vous étiez accoutumée à pratiquer une activité physique, vous pourrez continuer à le faire tout au moins à la condition que : 
  • Celle-ci ne soit pas trop violente ;
  • Vous ne présentiez pas de problème médical ;
  • Votre médecin vous donne son accord.
Les sports recommandés...
Les activités sportives préconisées entre toutes sont la marche et la natation. La marche parce qu’elle peut être pratiquée, y compris par les moins sportives, pendant toute la grossesse. La natation parce qu’elle est très relaxante, accroît les capacités cardiaques et ne s’accompagne pas de l’apparition de douleurs articulaires. Des cours destinés aux femmes enceintes sont d’ailleurs souvent proposés dans les piscines municipales et l’on vous conseillera peut-être la nage sur le dos.
La gymnastique “douce” est aussi possible et peut s’associer à une préparation à l’accouchement. Si vous voulez faire un peu de “gym”, préférez toutefois des séances d’une vingtaine de minutes deux à trois fois par semaine plutôt qu’un cours d’une heure et, à la maison, n’oubliez pas de vous échauffer quelques minutes avant de commencer vos exercices. Evitez néanmoins les étirements violents. En effet, les ligaments tendent à se relâcher pendant la grossesse.
Certaines femmes se plaisent aussi à faire de la danse avec mesure, du yoga, ou du vélo, mais votre “gros ventre” pourra gêner la pratique de ce dernier sport en fin de grossesse.
... et les sports interdits
En revanche, d’autres sports sont à éviter après le quatrième mois. Soit, parce qu’ils peuvent entraîner des chutes (équitation, ski, etc.), un risque d’autant plus réel que le déplacement du centre de gravité du corps favorise les pertes d’équilibre chez les femmes enceintes. Soit, parce qu’ils peuvent vous exposer à des chocs ou à un traumatisme au niveau de l’abdomen : sports de balle collectifs, judo, karaté...
Le tennis et le jogging ne sont pas plus recommandés, car ils déterminent des secousses assez fortes et sont source d’entorses. Enfin, on s’en serait douté, l’alpinisme est vivement déconseillé et la plongée sous-marine interdite, l’apnée étant dangereuse pour le foetus.
Quelques autres précautions à prendre
Bien sûr, vous éviterez les mouvements trop brusques et les sollicitations trop fortes des articulations, fragilisées par la grossesse. Bien évidemment, vous vous reposerez un peu plus souvent qu’auparavant et vous vous abstiendrez pendant les périodes de grosse chaleur. Mais, pensez aussi à conserver une alimentation saine, suffisamment riche en potassium car la survenue de crampes est plus courante pendant la grossesse. A cette fin, il vous faudra consommer en abondance légumes, fruits et viande. N’oubliez pas non plus de boire beaucoup d’eau afin de prévenir toute déshydratation.
Que peut-on attendre de l’exercice physique ?
Les bienfaits de l’exercice physique sont multiples chez la femme enceinte : entretien de la musculature abdominale, amélioration du retour veineux, accroissement de l’endurance… Bouger et s’occuper de soi sont également une source de bien être psychologique. De plus, différentes études ont montré qu’une activité sportive facilite le travail de l’accouchement en accroissant les performances respiratoires et que les femmes ayant continué à faire du sport accouchent moins fréquemment par césarienne. Alors, définitivement convaincues ?

Q&R: Pourquoi votre maquillage est dangereux

Plaisirs Santé s’est entretenu avec Gillian Deacon, une journaliste qui a survécu au cancer du sein, au sujet des toxines que recèlent les produits de beauté de tous les jours.

Q&R: Pourquoi votre maquillage est dangereux
Mercure, formaldéhyde, triclosane, parabène, voilà juste quelques-uns des ingrédients toxiques que l’on peut trouver dans les produits de soins personnels que vous utilisez au quotidien. Dans There’s Lead in Your Lipstick (Du plomb dans votre rouge à lèvres), la journaliste Gillian Deacon passe au crible de la science les produits malsains de votre salle de bains et propose des produits de remplacement plus sains, voire d’en fabriquer vous-même avec, par exemple, des ingrédients aussi courants que le vinaigre et l’huile.
Plaisirs Santé a clavardé avec Mme Deacon – qui avait cessé de travailler sur son livre pendant plusieurs mois de l’année 2009 pour suivre un traitement contre le cancer du sein – à propos des perturbations hormonales, des réglementations gouvernementales et de l’écoblanchiment dans le domaine des produits de beauté.
PS: Comment parvenez-vous à concilier votre travail de journaliste traquant les faits et les émotions suscitées par votre combat contre un cancer en partie attribuable, selon vous, aux toxines qui nous entourent?
Gillian Deacon: C’est vraiment la journaliste qui a écrit ce livre. Dès que je m’assieds à mon bureau, couvert d’études scientifiques, c’est automatique. Mais des choses qui n’auraient auparavant pas trouvé d’écho en moi m’ont frappée. Avant mon cancer, une information sur les perturbations hormonales m’aurait fait penser à mon syndrome prémenstruel et à mes problèmes de peau. Mais ma tumeur était alimentée par mes œstrogènes. Ces cinq prochaines années, je devrai prendre des médicaments bloquant la production d’hormones, alors je suis beaucoup plus consciente de la gravité du problème.
PS: Les gens savent qu’il y a des pesticides dans certains produits et ils ont changé leur façon de manger en conséquence. Cependant, beaucoup d’entre nous avons aussi entendu parler des toxines dont vous traitez dans votre livre, et nous continuons d’aller à la pharmacie acheter les mêmes lotions et shampoings. Pourquoi?
GD: Les vieilles habitudes ont la vie dure. Les gens s’accoutument à l’effet d’un produit plutôt qu’à celui d’un autre. Je pense qu’il leur est difficile de remettre en question ces aspects de leur vie. Ils se disent que ça leur a convenu jusque-là, qu’ils sont en bonne santé et qu’ils ne vont sans doute pas tourner de l’œil demain. Par ailleurs, le gouvernement n’exerce aucune pression pour que les fabricants changent leur façon de procéder.
PS: Certains produits de beauté naturels sont très inefficaces. Par exemple, j’ai essayé un gel pour les cheveux qui s’est révélé un vrai désastre. Comment faites-vous pour trouver des produits de bonne qualité?
GD: J’ai dépensé une fortune à essayer plein de choses ces dernières années, et je reste à l’affût jusqu’à ce que je découvre un produit adéquat. C’est un vrai défi de trouver des produits efficaces, mais si on reste attentives, on finit par y arriver. Et c’est là où mon livre intervient, il vous donne des raccourcis pour résoudre le problème. Il y a aussi de plus en plus de nouveaux producteurs qui offrent des produits de beauté qui sentent bon et sont sans danger.
PS: Quand vous cherchez des articles de toilette sûrs, avez-vous des trucs pour ne pas vous laisser tromper par les prétentions vertes des fabricants?
GD: Quand vous voyez l’image d'une jolie feuille verte ou le mot « naturel » sur un emballage, vous devez le retourner et lire les informations qui figurent au dos. C’est le sujet de mon premier chapitre. Quand vous achetez mon livre, vous avez de plus accès à une carte de format portefeuille téléchargeable sur mon site Web (gilldeacon.com) qui fournit la liste des 10 marques auxquelles vous pouvez accorder votre confiance et des 20 ingrédients à éviter. Mais ils ne disent pas qu’il y a du plomb dans le rouge à lèvres. Vouloir la sécurité à tout prix pourrait vous rendre dingue, et il faut se contenter de faire ce que vous pouvez pour limiter les dégâts – c'est là que la cancéreuse qui est en moi ressort ses griffes.
PS: Est-il possible de trouver des produits efficaces et sûrs à la pharmacie du coin ou devez-vous faire un saut jusqu’au premier magasin d’alimentation naturelle?
GD: Quelques produits vraiment écolos parviennent à se frayer jusque sur les rayons des grands magasins. Mais il n’y a aucun autre domaine où l’on risque plus de se faire tromper par l’écoblanchiment, car les compagnies qui fournissent ces magasins dépensent plus pour le marketing et les emballages accrocheurs que pour des ingrédients de haute qualité.
PS: Pour les lecteurs de Plaisirs Santé qui ne sont pas familiers avec le sujet de votre livre, quel est le principal message que vous souhaitez leur faire passer?
GD: Nous ne pouvons pas tenir pour acquis, devant les rayons où s’étalent nos produits de soins personnels et de beauté, que ces derniers ont fait l’objet de tous les essais nécessaires pour nous assurer que tous leurs ingrédients soient inoffensifs à court comme à long terme. Tout le monde croit que le gouvernement et les organismes de régulation font leur devoir avec diligence, mais ce n’est absolument pas le cas. Nous devons donc nous demander si cela compte beaucoup pour nous et si nous sommes prêtes à faire les efforts requis pour restreindre le nombre et la quantité de toxines auxquelles nous nous exposons.

6 astuces pour être au top de la mode pendant sa grossesse

1 – « Je souligne mon décolleté… »
C’est peut-être pour se faire pardonner des autres désagréments que Dame Nature a décidé de doter la femme enceinte d’un atout de taille : un magnifique décolleté ! Il serait dommage de ne pas souligner cet avantage qui permet aussi, ni vu ni connu, de détourner l’attention des rondeurs moins flatteuses… Les meilleures techniques pour sublimer son décolleté ? Adopter des formes cache-cœur, un décolleté empire, ou encore une encolure V… et surtout adapter sa lingerie, pour qu’elle souligne - et soutienne - nos nouveaux atouts !
2 – « Ma stratégie varie selon les trimestres »
Le premier trimestre de grossesse, l’objectif est la dis-cré-tion ! Les hauts flous et blousants sont vos amis pour cacher ce bidon naissant. Au 2ème trimestre, épanouie et en pleine forme, on peut tout se permettre, mixer vêtements d’ « avant » et vêtements de maternité, plus confortables si on se sent déjà à l’étroit. Vous les apprécierez de toutes façons très vite, au 3ème trimestre, car leurs coupes adaptées sont indispensables pour loger notre bidon tout rond ! L’astuce : choisir des vêtements évolutifs « avant-après » étudiés pour vous permettre d’allaiter si vous le souhaitez…
3 – « Je mise sur des basiques et je mixe ! »
Pouvoir compter sur de bons basiques, c’est important pour une femme et essentiel pour une femme enceinte ! Ces vêtements seront vos alliés tout au long de la grossesse : prenez le temps de choisir ceux qui seront à la fois beaux, confortables, et bien pensés. La sélection idéale ? Un jean, un pantalon plus habillé, une robe, une jupe, un legging, et quelques hauts : blouse, T-shirt, tunique… Ensuite, l’idée, c’est de mixer ! Par exemple, une longue tunique qu’on portera ceinturée avec un slim l’hiver, avec un legging au printemps, et seule l’été, en version robe.
4 – « Le stretch est mon meilleur ami ! »
D’accord, on veut rester tendance pendant sa grossesse, mais sans sacrifier son confort. Voilà pourquoi on peut remercier Joseph Shivers, inventeur en 1959 de l’élasthanne, une fibre révolutionnaire capable de s’étirer jusqu’à 600% fois sa taille ! On privilégie donc les vêtements avec un peu d’élasthanne, qui s’adaptent mieux à nos rondeurs et qui, petit bonus, sèchent plus vite après lavage ! Bon à savoir : les vêtements en « maille » (tricot, jersey, côtes…) sont aussi naturellement stretch et confortables.
5 – « Quelques accessoires, ça change tout ! »
Attention, l’ennui guette la femme enceinte… côté penderie, pour le reste on est bien occupé ! Comment ne pas se lasser des quelques vêtements de grossesse dont on dispose ? Grâce aux accessoires, qui changent le look illico ! Une ceinture bandeau coloré, et hop, du pep’s dans votre robe stretch. Un joli foulard, à nouer autour du sac, du cou, au poignet, dans les cheveux, etc. Un collier pour réveiller un simple tee-shirt, et le tour est joué !
6 – « Je clique futé »
Des leçons de mode avec différents looks à partir d’un même vêtement ? Une collection évolutive « avant-après », qui vous suit de la grossesse à l’allaitement ? Des bons plans avec des réductions régulières et des petites attentions ? Vous en rêviez, Colline l’a fait, et voilà pourquoi nous vous recommandons d’aller jeter un coup d’œil à la collection future maman de vertbaudet !
 

3 façons de libérer des endorphines naturellement

Tout le monde veut se sentir bien, et certains ont même tourner vers la drogue ou d'autres méthodes artificielles afin de le faire. Mais saviez-vous que vous avez votre propre pharmacie naturelle construite à droite dans votre cerveau? Le cerveau est facilement capable de libérer ses propres sentiment de bien-chimiques, tels que les endorphines, qui sont option beaucoup plus sûre que de compter sur les produits pharmaceutiques et autres médicaments. Les endorphines, non seulement vous vous sentirez heureux, mais agir comme des analgésiques naturels aussi. Dans cet article, nous allons jeter un coup d'oeil à trois façons de libérer des endorphines naturellement.
Tout le monde veut se sentir bien, et certains ont même tourner vers la drogue ou d'autres méthodes artificielles afin de le faire. Mais saviez-vous que vous avez votre propre pharmacie naturelle construite à droite dans votre cerveau? Le cerveau est facilement capable de libérer ses propres sentiment de bien-chimiques, tels que les endorphines, qui sont option beaucoup plus sûre que de compter sur les produits pharmaceutiques et autres médicaments.
Les endorphines, non seulement vous vous sentirez heureux, mais agir comme des analgésiques naturels aussi. Ces produits chimiques sont produits opiacés par la glande hypophyse en réponse à une variété de facteurs, y compris le stress, le danger, l'activité vigoureuse et des situations agréables tels que manger et de l'orgasme. La libération d'endorphine peut aussi être délibérément stimulés, notamment en utilisant les méthodes suivantes:
1. Exercer
La première méthode naturelle la libération d'endorphine est un exercice vigoureux. Vous avez probablement entendu parler de «haute coureur» de la célèbre, qui est un état extatique qui est souvent vécue par ceux qui participent à la course de fond. L'exercice de ce type provoque le cerveau à libérer des endorphines (et éventuellement d'autres produits chimiques naturels aussi), qui prévoient que naturel élevé.
Vous n'avez pas besoin d'être un coureur à l'expérience de cette Toutefois, et la plupart des autres formes d'exercice peut obtenir le même résultat. L'essentiel est que l'exercice devrait être d'intensité modérée à élevée et prolongée - si courte séances d'entraînement sont moins susceptibles de produire l'effet, bien que la plupart des gens trouvent que l'exercice de toute nature fait se sentir mieux dans une certaine mesure.
2. Acupuncture
L'acupuncture est une technique ancienne qui consiste à insérer de fines aiguilles en des points stratégiques sous la peau, ce qui correspond à l'énergie de l'organisme points méridiens. L'acupuncture a souvent été utilisé comme anesthésique naturel, et il existe des preuves pour indiquer que ses effets analgésiques peut être réduit à endorphines communiqué.
Alors que la plupart des gens ne sera pas sur le point de visiter un acupuncteur à chaque fois qu'ils veulent tout simplement se sentir un peu plus heureux, si vous ressentez de la douleur, et que vous cherchez pour les non-liés à la drogue méthodes pour soulager la douleur, l'acupuncture est certainement utile d'examiner, comme il vous aide à faire usage de ses propres naturelles de votre organisme analgésiques intégrés.
3. Entraînement des ondes cérébrales
Un troisième, moins bien connue méthode naturelle la libération d'endorphine est l'entraînement des ondes cérébrales. Cela implique une exposition à des stimuli répétitifs tels que les vagues de son ou la lumière. Par exemple, vous pouvez écouter un enregistrement entraînement des ondes cérébrales qui contient des sons de fréquences spécifiques. Merci à un phénomène naturel connu sous le nom «la réponse en fréquence", le cerveau aura tendance à correspondre à sa propre sortie des ondes cérébrales pour les fréquences des sons qu'il entend.
Depuis ondes cérébrales de différentes fréquences sont liées à différents états mentaux, ce qui rend entraînement des ondes cérébrales d'un outil utile pour accéder à différents états de conscience à volonté.
Cela vous permet également de libérer les endorphines, car il a été constaté que ils sont également libérés naturellement quand vous entrez dans un état de relaxation profonde. Par exemple, les gens qui sont plongés dans une cuve de flottation éprouvent souvent des endorphines produisent quand ils deviennent profondément détendu à la suite de la privation sensorielle. Si ce n'est pas une option pratique pour la plupart des gens, entraînement des ondes cérébrales offre une alternative viable, car il peut aussi vous aider à atteindre un état de la même détendue dans laquelle les schémas des ondes cérébrales liées à la libération d'endorphine sont déclenchées.
Cerveau d'onde d'entraînement est probablement la plus accessible de ces trois méthodes de stimulation endorphine pour la plupart des gens, et il est bien la peine d'essayer si vous n'êtes pas déjà familier avec elle.

Source : http://www.energika.org/endorphines-naturellement-a04660698.htm