lundi 25 mai 2015

Aliment anti-crise les haricots noirs sont aussi un aliment anti-cancer




Ceux qui cherchent à consommer plus de protéines végétales et à manger moins (ou plus du tout) de viande, connaissent bien  les légumineuses, et spécialement tous les haricots, pour leur forte teneur en protéines.
Mais les haricots noirs dont je veux parler aujourd’hui sont un concentré exceptionnel de bienfaits en tous genres, par exemple dans la lutte contre le cancer.  Je précise qu’il ne s’agit pas de haricots rouges, mais bien de noirs.
Sans oublier que leur saveur est douce et agréable comparée à celle d’autres haricots. Je n’ai jamais vraiment aimé les haricots, que je ne consommais plus depuis longtemps. Maintenant les haricots noirs sont au menu régulièrement.

Les haricots noirs sont un aliment anti-crise parfait et pourtant très riche :
Deux portions par semaine ne feront aucun mal à votre porte-monnaie, mais beaucoup de bien à votre corps. Avantages difficiles à obtenir avec de la viande.
De plus ils se cuisinent rapidement et facilement. Ils prennent le goût des aliments qui les accompagnent, de sorte que vous aurez réellement du plaisir à les manger.
Mais vous pouvez leur associer une céréale comme le riz, pour une combinaison d’acides aminés essentiels, ou de la quinoa avec laquelle ils sont délicieux.
Ou des oignons, des légumes verts comme les courgettes, des algues comme le wakamé qui s’associe bien aux haricots et les aide à cuire.
Vous obtiendrez ainsi un plat bon marché, très savoureux et nourrissant : les haricots noirs contiennent beaucoup de fibres, de minéraux comme le magnésium, le phosphore, le fer ou le manganèse, de vitamine B1 ou de folates. Et même des omégas 3. 
L’huile d’olive les accompagne très bien (de préférence ajoutée après cuisson), mais également la graisse de coco, que vous pouvez faire chauffer sans problème. Avec du sel de qualité et du poivre, vous vous régalerez.

Aliment anti-cancer du colon et du sein :
Je ne m’avance pas au hasard en écrivant cela, bien sûr. De nombreuses études le prouvent, qui proviennent de différents pays.
Le développement du cancer est lié à un stress oxydatif chronique et une inflammation chronique dans le corps. Or les haricots noirs contiennent en quantité des antioxydants de très grande qualité, également antiinflammatoires.

Ce qui explique qu’ils puissent aider à diminuer les risques de cancer, surtout du colon, et du sein semble-t-il.
Les fruits et légumes rouges et orangés sont connus, pour la même raison, comme des anticancéreux de premier plan.
Mais les trois anthocyanes, antioxydants qui donnent aux haricots noirs leur couleur, et qui sont de la famille des flavonoïdes, en font un aliment encore plus actif contre le cancer.
A eux s’ajoute la quercitine, autre flavonoïde puissamment anticancéreux, que l’on trouve beaucoup dans les oignons.
Toutes les études entreprises ces dernières années un peu partout dans le monde vérifient ces effets anticancéreux :
  • l’observation aux USA des habitudes alimentaires de 90000 infirmières (âgées de 26 à 46 ans) a prouvé que celles qui consommaient au moins deux fois par semaine des haricots ou des lentilles, étaient moins sujettes au cancer du sein
  • durant sept ans des chercheurs japonais se sont intéressés au taux de cancer du colon dans un groupe de 43000 personnes âgées de 40 à 79 ans.
Eux aussi ont constaté que le critère de déclenchement le plus important du cancer était la non consommation de haricots.
Je suppose, ce n’est pas mentionné dans l’étude, qu’il s’agissait de haricots azukis très aimés des Japonais. Mais avec les haricots noirs contenant des antioxydants de meilleure qualité encore, les résultats n’auraient pas été différents, à mon avis.
  • des chercheurs grecs ont eux démontré le pouvoir anti-radicaux libres de la majorité des légumineuses et leur pouvoir de lutte contre le stress oxydatif. D’où leur rôle dans la lutte contre le cancer.
Les haricots noirs protègent vos artères :
Les antioxydants dont je viens de parler, de la même famille que ceux contenus dans les raisins, protègent des maladies cardio-vasculaires.
Ils s’attaquent aux radicaux libres pour les empêcher d’oxyder le cholestérol qui peut se trouver dans les artères.  En évitant cette oxydation, les flavonoïdes des haricots noirs évitent donc aussi le durcissement des artères, que l’on appelle l’athérosclérose. Responsable des maladies cardio-vasculaires.

La présence des folates ( c’est-à-dire  la vitamine B9) , dont je parlais tout à l’heure, participe de cette protection cardiaque.
De plus ces haricots ne vous feront pas grossir, bien au contraire C’est une croyance totalement fausse, les haricots ne font pas grossir.
Pourquoi ?
Les haricots noirs contiennent en quantité importante et égale des protéines et des fibres.
Ainsi, durant la digestion, l’absorption des sucres rapides est ralentie. Cela aide à régulariser le taux de sucre dans le sang et les taux d‘insuline.
Les haricots noirs sont donc finalement un des meilleurs aliments de prévention du diabète (de type 2) et de la prise de poids.

mardi 19 mai 2015

le citron pour blanchir les dents

 Différencier le jus de citron de l'arôme citron.
Le citron est un agrume qui peut être utilisé de diverses manières pour blanchir les dents naturellement bien qu'il faille rester prudent avec. En effet, les dangers du blanchiment des dents sont bien réels.
  • Quoi qu'il en soit, il est important de distinguer le véritable jus de citron des dentifrices au citron qui ne sont, en réalité, qu'aromatisés.
  • Ainsi, même des produits bio (certains dentifrices) qui utilisent de l'huile essentielle de citron ne s'en servent qu'en tant qu'arôme et pas pour les vertus légèrement abrasives que nous allons évoquer ci-après.
À noter que du pur jus de citron peut se trouver dans les boutiques bio mais que presser son propre citron reste moins onéreux.

Il est possible de se blanchir les dents en utilisant le jus de citron pour son pouvoir abrasif.
En effet, l'acidité du jus de citron va agir sur le tartre et contribuer à réduire la plaque dentaire. Toutefois, son action étant très efficace et risquant d'abîmer l'émail dentaire à la longue, il est préférable de ne pas utiliser cette méthode plus de deux fois par semaine.
Utilisé trop fréquemment, le citron peut se révéler néfaste en déminéralisant les dents et en fragilisant l'émail.
Notons que le bicarbonate de sodium peut neutraliser l'acide citrique.

Première méthode

Pour utiliser le citron comme agent blanchissant, il suffit de brosser ses dents avec du jus de citron ou avec un mélange de jus d'agrumes (citron, citron vert, pamplemousse).
Attention à ne pas diluer le jus pour qu'il reste efficace.

Deuxième méthode

Pour avoir des dents blanches avec le citron, on peut également directement passer la pulpe du citron sur les dents.
Dans l'idéal, on enchaînera tout de suite derrière par le passage d'un quartier de pomme sur les dents afin de déposer dessus une couche protectrice.

Certains substituts du bisphénol A tout aussi dangereux

 
Les industriels doivent remplacer le bisphénol A , interdit dans tous les contenants alimentaires en France depuis le 1er janvier 2015. Mais certains substituts seraient tout aussi néfastes pour le développement du fœtus.
Le 1er janvier 2015, la France est devenue le premier pays au monde à bannir le bisphénol A de tous les contenants alimentaires… sans vraiment savoir par quoi le remplacer.
Ce composé chimique, très utilisé pour fabriquer des plastiques souples et transparents, dans les revêtements intérieur des boîtes de conserve, ou comme révélateur sur les tickets de caisse, est classé comme perturbateur endocrinien et accusé de longue date d'effets néfastes sur la reproduction, le développement et le métabolisme. Or certains produits de substitution pourraient être tout aussi dangereux, indique une étude menée par des chercheurs français.

Production de testostérone

René Habert, professeur en toxicologie de la reproduction et ses collaborateurs du Laboratoire de Développement des Gonades (INSERM, CEA, Université Paris Diderot), ont testé les effets des bisphénols S (BPS) et F (BPF) sur des cellules de testicules fœtaux humains cultivés un vitro. Leurs travaux, publiés dans la revue «Fertility & Sterility», montrent que eux aussi «perturbent la production de testostérone. Or celle-ci a une importance capitale pour les fœtus mâles humains, car c'est elle qui masculinise leurs organes génitaux. Sans testostérone, un fœtus génétiquement mâle souffrira de troubles de la masculinité (par exemple, un micro-pénis), et l'on soupçonne un risque de baisse de la fertilité à l'âge adulte» même chez des hommes apparemment bien conformés.
Le Pr Habert avait été le premier à prouver expérimentalement, en janvier 2013, que les dangers du BPA déjà démontrés sur des animaux de laboratoire existaient aussi, et même à plus faible dose, sur le testicule humain. Or les bisphénols traversent la barrière placentaire, qui normalement protège le fœtus des substances toxiques ingérées par sa mère.

«Jamais testé chez l'homme»

«Bien qu'ils aient une structure chimique proche de celle du bisphénol A, la dangerosité des BPS et BPF n'a jamais été testée sur une fonction physiologique chez l'homme et il n'y a aucune réglementation les concernant», indique un communiqué du CEA et de l'Inserm. De fait, un rapport du gouvernement remis fin décembre 2012, relatif aux substituts du bisphénol A, cite le bisphénol S comme composé possible du «polyéthersulfone», utilisable «en remplacement du polycarbonate dans les biberons», «la vaisselle pour enfants», mais aussi «les appareil et accessoires médicaux», «les installations d'eau chaude» ou pour «les tickets de caisse».
«En réalité, regrette le Pr Habert, on a peu d'informations sur les utilisations actuelles ou à venir du BPS et du BPF, car les producteurs n'ont aucune obligation de donner ces informations et protègent leurs secrets industriels.» Une étude effectuée par des chercheurs canadiens et publiée très récemment dans les Actes de l'Académie des sciences américaine (PNAS) va aussi dans le sens d'une nocivité du PBS. Ces auteurs ont observé qu'il altère le développement cérébral et entraîne une hyperactivité chez des poissons zèbres in vivo.
«Il est important de tester scientifiquement les produits avant de les mettre sur le marché, car on peut difficilement prédire simplement à partir de sa formule chimique si une molécule aura ou non un effet négatif», s'insurge René Habert. «Cela serait dépourvu de bon sens d'échanger un danger sanitaire pour un autre», peut-on lire dans l'article qu'il a dirigé. Les auteurs souhaitent que soient étudiés sans délais «les dangers sanitaires pour l'homme des substituts du BPA».

lundi 11 mai 2015

Jeûner pour se soigner : le point sur le jeûne thérapeutique

Le jeûne a longtemps été utilisé comme une thérapie à part entière, avant de voir son usage limité. Aujourd'hui, on reparle de plus en plus de jeûne "thérapeutique" : le fait de jeûner permettrait de traiter certaines maladies. En quoi le jeûne pourrait-il avoir de telles vertus ? Sont-elles scientifiquement prouvées ? Doctissimo fait le point sur les connaissances actuelles.
Jeûne thérapeutiqueDes travaux menés depuis les années 1960 laissent à penser que le jeûne pourrait faire partie de l'arsenal thérapeutique disponible pour lutter contre certaines pathologies. Cependant, son efficacité dans certains cas doit encore être prouvée par de plus amples études. Qu'il soit à visée thérapeutique ou non, le jeûne doit toujours être pratiqué dans un cadre médical, car il n'est pas sans risques.

Jeûne thérapeutique : quels effets sur la santé ?

Le jeûne consiste en une privation de nourriture. Il existe différents types de jeûne : le jeûne "hydrique" où l'on ne consomme que de l'eau, ou des jeûnes dits "modifiés", où l'on maintient une alimentation liquide, à base de jus de fruits ou de légumes en général (apport représentant en général 250 calories par jour).
Le jeûne a longtemps fait partie de l'arsenal thérapeutique, avant d'être abandonné par la médecine moderne. Il est cependant à nouveau proposé aujourd'hui à certains patients, en Allemagne et dans les pays de l'Est. Ainsi, une dizaine d'hôpitaux publics en Allemagne incluent des cures de jeûne dans les traitements de certaines pathologies.
De nombreux travaux ont évoqué des effets positifs du jeûne sur la santé. "En particulier, des études menées en Union soviétique dans les années 1960 à 1990, sur des dizaines de milliers de patients, ont permis de dresser une liste d'indications et de contre-indications au jeûne thérapeutique. Il est apparu au cours de ces travaux que le jeûne pouvait avoir un effet positif sur les maladies de peau, l' hypertension , les maladies inflammatoires chroniques, les allergies , les maladies des bronches (asthme) ou encore les maladies digestives ...", informe Thierry de Lestrade, auteur du livre "Le jeûne : une nouvelle thérapie ?"1,2.
L'étude des paramètres biologiques d'une personne en période de jeûne a montré que celui-ci entraînait des changements dans les paramètres sanguins et hormonaux - hausse du cortisol (effet anti-inflammatoire), baisse de l'insuline et des hormones thyroïdiennes T3 et T4, hausse de la dopamine et de la sérotonine....- qui expliqueraient notamment les effets sur l'inflammation et les changements au niveau émotionnel (sensation de calme, de plénitude...).
De récents travaux en biologie moléculaire sont allés plus loin et ont prouvé que le jeûne change même l'expression des gènes à l'intérieur des cellules3. "Cependant, les médecins qui conduisent ces études en Occident se plaignent du manque de crédits pour effectuer ces études à grande échelle sur l'homme", admet Thierry de Lestrade. Et c'est pourtant la condition sine qua non pour que la médecine conventionnelle reconnaisse le jeûne comme thérapie à part entière.

Encadrement médical et jeûne thérapeutique

"Le jeûne entrepris dans un but de traitement ne doit absolument pas se faire sans un suivi médical strict, avec une surveillance des paramètres biologiques", avertit Corinne Peirano, diététicienne-nutritionniste4. L'experte insiste aussi sur le fait que le jeûne ne doit pas venir en remplacement de l'arsenal de soins, mais en complément5. Un médecin qui connaît la pratique du jeûne saura vous dire si votre état vous permet ou pas de jeûner. "Le jeûne est contre-indiqué chez les patients cancéreux très amaigris par exemple", prévient ainsi le Dr Lionel Coudron, médecin nutritionniste6. Le jeûne risque en effet d'aggraver encore la perte de masse musculaire et la dénutrition.
Autres risques possibles du jeûne ? Hypoglycémie, carences nutritionnelles en cas de jeûne prolongé, hypotension… En outre, si vous souffrez d'une pathologie qui nécessite un traitement (hypotenseurs, antidiabétiques par exemple), il se peut que celui-ci doive être adapté au cours du jeûne, voire que le jeûne soit complètement contre-indiqué. Ainsi, l'idéal est d'effectuer une cure de jeûne thérapeutique dans une clinique spécialisée. A minima, il faut toujours se faire suivre par un médecin si l'on veut pratiquer un tel jeûne chez soi.
"Le jeûne avait été progressivement éliminé au nom de la médecine scientifique. Mais des travaux effectués par le biochimiste américain Valter Longo7, publiés dans une revue de réputation mondiale, ont réintégré le jeûne dans la sphère de la science "officielle". On peut parier que ces études en annoncent d'autres sur l'action du jeûne, non seulement dans le traitement du cancer, mais également dans le vaste champ des maladies chroniques ", conclut Thierry de Lestrade. Pour l'heure, les recherches restent embryonnaires. Elles se sont concentrées majoritairement sur des souris. D'autres études effectuées chez les humains, à grande échelle, seront nécessaires afin de confirmer ou non les effets du jeûne thérapeutique chez l'Homme.

Anne-Sophie Glover-Bondeau


mardi 5 mai 2015

Impact des micro-ondes sur le cerveau démontré

ETUDE : Des régions cruciales du cerveau liées à l’étude, la mémoire (Alzheimer) sont impactées par les micro-ondes du portable et du DECT – 20/01/2012
 
Une étude scientifique grecque menée par Adamantia Fragopoulou et Lukas Margaritis a démontré des changements importants de protéines dans le cerveau d’animaux après exposition de l’organisme entier à des CEM micro-ondes, semblables au type de rayonnement micro-onde émis par des téléphones portables (GSM), des téléphones domestiques sans fil (DECT), du WiFi et d’autres transmissions informatiques sans fil.

L’étude, « Réponse protéome du cerveau après exposition de l’organisme entier de souris au rayonnement de téléphone portable ou du sans-fil DECT  » (Brain proteome response following whole body exposure of mice to mobile phone or wireless DECT base radiation., vient d’être publiée dans Electromagnetic Biology and Medicine, ce 20 janvier. [Pubmed]

Des régions importantes du cerveau nécessaires pour l’étude, la mémoire et d’autres fonctions cérébrales chez les mammifères — y compris l’hippocampe, le cervelet et le lobe frontal — ont été impactées par des rayonnements micro-ondes pour des niveaux d’exposition en dessous des directives de sécurité de l’ICNIRP (Commission Internationale sur la Protection contre les Radiations Non ionisantes).

Un total de 143 protéines cérébrales ont été impactées par les rayonnements micro-ondes pour une durée de 8 mois, apportant une nouvelle preuve d’une relation potentielle entre l’utilisation quotidienne du téléphone portable, des émetteurs sans fil et des équipements informatiques sans fil, et des symptômes d’électrosensibilité tels que : maux de tête, vertiges et troubles du sommeil, de même que tumeurs, effets métaboliques et même Alzheimer.

L’étude a simulé 3 heures d’exposition de téléphone portable (GSM) pendant huit mois, 8 heures d’exposition au téléphone portable domestique (DECT) pendant plus de huit mois et a inclus un groupe témoin d’exposition feinte.

Les résultats ont montré des changements de taux de protéines à la fois vers le bas et vers le haut.Adamantia F. Fragopoulou, M.Sc., doctorante au département de biologie cellulaire et de biophysique à l’université d’Athène, Grèce, dit : »Notre étude est importante parce qu’elle montre pour la première fois des changements de protéines du cerveau de souris après l’exposition à des CEM et en particulier de régions très cruciales comme l’hippocampe, le cervelet et le lobe frontal, tous impliqués dans l’étude, la mémoire et d’autres fonctions compliquées du cerveau chez les mammifères.

Nous avons démontré que 143 protéines sont modifiées après le rayonnement électromagnétique, y compris des protéines qui ont été corrélées jusqu’ici avec l’Alzheimer, le glioblastome, le stress et le métabolisme. En perspective, on prévoit que cette étude puisse éclairer la compréhension de tels effets de santé comme des maux de tête, des vertiges, des troubles du sommeil, des troubles de la mémoire, des tumeurs cérébrales, tous liés, à la fonction des protéines cérébrales modifiées.

« Le Dr Lukas H. Margaritis, professeur honoraire (à partir de septembre 2010) de Biologie Cellulaire et la Radiobiologie, au Département de Biologie Cellulaire et de Biophysique, de l’Université d’Athènes, chef du groupe de recherche d’Athènes, dit, »Une approche à haut rendement (caractérisation massive de biomolécules, semblable aux micro-matrices (« micro-array ») qui analysent les gènes totaux d’un organisme) comme celui du Proteomics* n’avait jusqu’ici jamais été utilisée dans la recherche CEM sur les tissu cérébraux après exposition de l’organisme entier d’animaux modèles (des souris) à des valeurs de DAS (débit d’absorption spécifique) en dessous des recommandations de l’ICNIRP.

C’est aussi la première fois que les rayonnements de téléphone sans-fil DECT sont impliqués dans des études d’animaux de laboratoire et spécifiquement dans de tels effets moléculaires. Le message à retenir de ce travail est que les gens devraient être très prudents en utilisant des téléphones portables à proximité de leur corps. »