mardi 8 mai 2012

L’hormone de l’humeur a aussi role sur l’os


L’étrange découverte, réalisée par l’équipe de Marie-Christine de Vernejoul (Inserm, Paris) permettra-t-elle enfin de savoir si l’utilisation prolongée d’antidépresseurs fragilises les os ? les chercheurs ont démontré que l’os produit lui-même une hormone, la sérotonine, bien connue pour son rôle dans la régulation de l’humeur. Certains antidépresseurs – les inhibiteurs de recapture de la sérotonine- agissent justement sur le cerveau en augmentant son taux. Mais à l’intérieur des os, cette hormone est indispensable à la maturation des ostéoclastes, qui participent à la régénération du squelette. Son rôle a été vérifié en supprimant le gène de la sérotonine chez les souris. Resultat ? un déficit important en ostéoclastes matures suivi d’une trop forte densité oseuse. Car la sérotonine joue un rôle clé dans l’équilibre délicat qui permet la réparation du squelette tout au long de la vie. Deux types de cellules sont indispensables à cet équilibre : les ostéoblastes, qui produisent l’os… et les ostéoclastes, qui le résorbent. Dès lors, les modifications du taux de sérotonine expliqueraient l’apparition de maladies comme l’ostéoporose. In vitro, l’hormone contribue à une plus forte densité osseuse, contrairement aux observation déjà faites chez des patients dépressifs ‘’nous allons tenter de clarifier ces observations contradictoires’’, confie Marie-Christine de Vernejoul.

qu'est ce que la psychomotricité et le langage du corps



La psychomotricité représente l’ensemble des phénomènes qui témoignent de l’inscription dans le corps de processus psychiques et plus particulièrement au niveau du mouvement, des attitudes, des positions, des mimiques. Elle étudie la façon dont sont marquées dans le corps un certain nombre de modalités évolutives des mécanismes des fonctions instrumentales et relationnelles. Un psychomotricien s’occupe du corps ou plus précisément de l’investissement de celui-ci. Son mode d’approche demeure spécique dans l’aide procurée au patient à trouver un vécu harmonieux qui puisse lui permettre d’ajuster ou de réajuster sa personnalité aux conditions de l’environnement et de lui donner ainsi de meilleures possibilités d’adaptation.

Les références au corps, à l’espace, au temps, sont des notions essentielles au centre de la psychomotricité. Ajoutons la représentation (mentale) ainsi que la relation et nous pourrions presque affirmer que toute la psychomotricité se retrouve dans ces quelques termes, elle qui tente de mettre un terme à des maux. Entre un sens et un autre, entre le « psy » et le « moteur », entre le neurologique et le psychologique, entre les maladies nerveuses et les maladies mentales, la psychomotricité travaille les frontières. C’est sur ce chevauchement, cet éternel entre-deux que se fondent la position de ce métier et ses professionnels. Et si l’on nous questionne sur le but poursuivi par le psychomotricien, nous sommes tentés de répondre qu’il s’agit de faire bouger les gens dans leur corps pour les faire bouger dans leur tête. La problématique psychomotrice est centrée sur l’importance de la gestion d’un chassé-croisé entre interne et externe, en évoquant les nécessités de ce double mouvement comme, par exemple, incitations externes et excitations internes.

La thérapie psychomotrice a pour objectif l’amélioration et la réadaptation des fonctions psychomotrices perturbées ou retardées au cours du développement du fait de facteurs biologiques, traumatiques, affectifs et/ou environnementaux. Son champ d’application est vaste, de la stimulation précoce du nourrisson à l’entretien des facultés psychomotrices de la personne âgée, en passant par toute la variété des troubles psychomoteurs de l’enfant, de l’adolescent et de l’adulte. Les techniques d’intervention sont variées et spécifiques. Elles ont toutes pour dénominateur commun : le corps en mouvement et en expression. Elles s’appuient sur une évaluation rigoureuse des troubles et requièrent de la part du thérapeute des compétences et des connaissances dans divers domaines, actualisées dans un bilan psychomoteur : neurologie, psychiatrie, psychologie plus particulièrement.

Les syndromes psychomoteurs ne répondent pas à une lésion en foyer donnant les syndromes neurologiques classiques ; ils sont plus ou moins automatiques, plus ou moins motivés, plus ou moins subis, plus ou moins voulus ; liés aux affects, mais attachés au soma par leur fluence à travers la  voie  finale  commune,  ils  ne  présentent  pas  pour  cela  uniquement des caractéristiques de dérèglement d’un système défini persistants ou labiles dans leur forme, mais variables dans leurs expressions ; ils restent chez un même individu intimement liés aux afférences et aux situations, ils  ont  souvent  un  caractère  expressionnel,  caricatural  et  gardent  des caractères primitifs, quoique modifiés par l’évolution ultérieure, qui les rapproche de phases primitives de contact ou de répulsion, de passivité ou d’agression. Parfois, ils n’ont même plus la forme du mouvement primaire, mais seulement la valeur d’un symbole. Les troubles psychomoteurs, dans leur ensemble, oscillent entre le neurologique et le psychiatrique, entre le vécu plus ou moins voulu et le vécu plus ou moins subi, entre la personnalité totale plus ou moins présente et la vie plus ou moins jouée.
[...] Rentreront donc dans ce cadre, certaines formes de débilité motrice dans un sens mieux défini du terme, des instabilités psychomotrices, des inhibitions psychomotrices, certaines maladresses d’origine émotionnel ou par désordres de la latéralisation, des dyspraxies d’évolution, certaines dysgraphies, des tics, le bégaiement et bien d’autres types de désordres.

qu'est ce que la psychomotricité et le langage du corps


La psychomotricité représente l’ensemble des phénomènes qui témoignent de l’inscription dans le corps de processus psychiques et plus particulièrement au niveau du mouvement, des attitudes, des positions, des mimiques. Elle étudie la façon dont sont marquées dans le corps un certain nombre de modalités évolutives des mécanismes des fonctions instrumentales et relationnelles. Un psychomotricien s’occupe du corps ou plus précisément de l’investissement de celui-ci. Son mode d’approche demeure spécique dans l’aide procurée au patient à trouver un vécu harmonieux qui puisse lui permettre d’ajuster ou de réajuster sa personnalité aux conditions de l’environnement et de lui donner ainsi de meilleures possibilités d’adaptation.

Les références au corps, à l’espace, au temps, sont des notions essentielles au centre de la psychomotricité. Ajoutons la représentation (mentale) ainsi que la relation et nous pourrions presque affirmer que toute la psychomotricité se retrouve dans ces quelques termes, elle qui tente de mettre un terme à des maux. Entre un sens et un autre, entre le « psy » et le « moteur », entre le neurologique et le psychologique, entre les maladies nerveuses et les maladies mentales, la psychomotricité travaille les frontières. C’est sur ce chevauchement, cet éternel entre-deux que se fondent la position de ce métier et ses professionnels. Et si l’on nous questionne sur le but poursuivi par le psychomotricien, nous sommes tentés de répondre qu’il s’agit de faire bouger les gens dans leur corps pour les faire bouger dans leur tête. La problématique psychomotrice est centrée sur l’importance de la gestion d’un chassé-croisé entre interne et externe, en évoquant les nécessités de ce double mouvement comme, par exemple, incitations externes et excitations internes.

La thérapie psychomotrice a pour objectif l’amélioration et la réadaptation des fonctions psychomotrices perturbées ou retardées au cours du développement du fait de facteurs biologiques, traumatiques, affectifs et/ou environnementaux. Son champ d’application est vaste, de la stimulation précoce du nourrisson à l’entretien des facultés psychomotrices de la personne âgée, en passant par toute la variété des troubles psychomoteurs de l’enfant, de l’adolescent et de l’adulte. Les techniques d’intervention sont variées et spécifiques. Elles ont toutes pour dénominateur commun : le corps en mouvement et en expression. Elles s’appuient sur une évaluation rigoureuse des troubles et requièrent de la part du thérapeute des compétences et des connaissances dans divers domaines, actualisées dans un bilan psychomoteur : neurologie, psychiatrie, psychologie plus particulièrement.

Les syndromes psychomoteurs ne répondent pas à une lésion en foyer donnant les syndromes neurologiques classiques ; ils sont plus ou moins automatiques, plus ou moins motivés, plus ou moins subis, plus ou moins voulus ; liés aux affects, mais attachés au soma par leur fluence à travers la  voie  finale  commune,  ils  ne  présentent  pas  pour  cela  uniquement des caractéristiques de dérèglement d’un système défini persistants ou labiles dans leur forme, mais variables dans leurs expressions ; ils restent chez un même individu intimement liés aux afférences et aux situations, ils  ont  souvent  un  caractère  expressionnel,  caricatural  et  gardent  des caractères primitifs, quoique modifiés par l’évolution ultérieure, qui les rapproche de phases primitives de contact ou de répulsion, de passivité ou d’agression. Parfois, ils n’ont même plus la forme du mouvement primaire, mais seulement la valeur d’un symbole. Les troubles psychomoteurs, dans leur ensemble, oscillent entre le neurologique et le psychiatrique, entre le vécu plus ou moins voulu et le vécu plus ou moins subi, entre la personnalité totale plus ou moins présente et la vie plus ou moins jouée.
[...] Rentreront donc dans ce cadre, certaines formes de débilité motrice dans un sens mieux défini du terme, des instabilités psychomotrices, des inhibitions psychomotrices, certaines maladresses d’origine émotionnel ou par désordres de la latéralisation, des dyspraxies d’évolution, certaines dysgraphies, des tics, le bégaiement et bien d’autres types de désordres.

qu'est ce que la psychomotricité et le langage du corps


La psychomotricité représente l’ensemble des phénomènes qui témoignent de l’inscription dans le corps de processus psychiques et plus particulièrement au niveau du mouvement, des attitudes, des positions, des mimiques. Elle étudie la façon dont sont marquées dans le corps un certain nombre de modalités évolutives des mécanismes des fonctions instrumentales et relationnelles. Un psychomotricien s’occupe du corps ou plus précisément de l’investissement de celui-ci. Son mode d’approche demeure spécique dans l’aide procurée au patient à trouver un vécu harmonieux qui puisse lui permettre d’ajuster ou de réajuster sa personnalité aux conditions de l’environnement et de lui donner ainsi de meilleures possibilités d’adaptation.

Les références au corps, à l’espace, au temps, sont des notions essentielles au centre de la psychomotricité. Ajoutons la représentation (mentale) ainsi que la relation et nous pourrions presque affirmer que toute la psychomotricité se retrouve dans ces quelques termes, elle qui tente de mettre un terme à des maux. Entre un sens et un autre, entre le « psy » et le « moteur », entre le neurologique et le psychologique, entre les maladies nerveuses et les maladies mentales, la psychomotricité travaille les frontières. C’est sur ce chevauchement, cet éternel entre-deux que se fondent la position de ce métier et ses professionnels. Et si l’on nous questionne sur le but poursuivi par le psychomotricien, nous sommes tentés de répondre qu’il s’agit de faire bouger les gens dans leur corps pour les faire bouger dans leur tête. La problématique psychomotrice est centrée sur l’importance de la gestion d’un chassé-croisé entre interne et externe, en évoquant les nécessités de ce double mouvement comme, par exemple, incitations externes et excitations internes.

La thérapie psychomotrice a pour objectif l’amélioration et la réadaptation des fonctions psychomotrices perturbées ou retardées au cours du développement du fait de facteurs biologiques, traumatiques, affectifs et/ou environnementaux. Son champ d’application est vaste, de la stimulation précoce du nourrisson à l’entretien des facultés psychomotrices de la personne âgée, en passant par toute la variété des troubles psychomoteurs de l’enfant, de l’adolescent et de l’adulte. Les techniques d’intervention sont variées et spécifiques. Elles ont toutes pour dénominateur commun : le corps en mouvement et en expression. Elles s’appuient sur une évaluation rigoureuse des troubles et requièrent de la part du thérapeute des compétences et des connaissances dans divers domaines, actualisées dans un bilan psychomoteur : neurologie, psychiatrie, psychologie plus particulièrement.

Les syndromes psychomoteurs ne répondent pas à une lésion en foyer donnant les syndromes neurologiques classiques ; ils sont plus ou moins automatiques, plus ou moins motivés, plus ou moins subis, plus ou moins voulus ; liés aux affects, mais attachés au soma par leur fluence à travers la  voie  finale  commune,  ils  ne  présentent  pas  pour  cela  uniquement des caractéristiques de dérèglement d’un système défini persistants ou labiles dans leur forme, mais variables dans leurs expressions ; ils restent chez un même individu intimement liés aux afférences et aux situations, ils  ont  souvent  un  caractère  expressionnel,  caricatural  et  gardent  des caractères primitifs, quoique modifiés par l’évolution ultérieure, qui les rapproche de phases primitives de contact ou de répulsion, de passivité ou d’agression. Parfois, ils n’ont même plus la forme du mouvement primaire, mais seulement la valeur d’un symbole. Les troubles psychomoteurs, dans leur ensemble, oscillent entre le neurologique et le psychiatrique, entre le vécu plus ou moins voulu et le vécu plus ou moins subi, entre la personnalité totale plus ou moins présente et la vie plus ou moins jouée.
[...] Rentreront donc dans ce cadre, certaines formes de débilité motrice dans un sens mieux défini du terme, des instabilités psychomotrices, des inhibitions psychomotrices, certaines maladresses d’origine émotionnel ou par désordres de la latéralisation, des dyspraxies d’évolution, certaines dysgraphies, des tics, le bégaiement et bien d’autres types de désordres.