vendredi 16 mars 2012

Aloe Vera Une Plante Médicinale Extraordinaire


Plante médicinale : Scutellaire (Scutellaria lateriflora)


ALOE VERA Une vieille plante médicinale


Weleda: Arnica - plante médicinale et beauté sauvage


Plante médicinale : prunelle (Prunella vulgaris)


Plante médicinale : Actée noire


Plante médicinale : framboisier (Rubus idaeus)


Plante médicinale: Pissenlit (Taraxacum officinale)


Plante médicinale : Hysope


Plante médicinale : Rhodiola


Plante médicinale : Sureau


Plante médicinale : Ortie


Plante médicinale : Curcuma


Toute la vérité sur ce que vous mangez


Mars, est le mois de la nutrition. Cette année la thématique porte sur les mythes et les réalités. Pour vous, je reprendrai au cours des quatre semaines de mars près de 30 petits dossiers. Toute la documentation est tirée du site Les diététistes du Canada. Commençons cette semaine avec les vérités suivantes.
Sujets :

1. Les aliments biologiques sont plus santé et plus sûrs
La vérité : Les aliments biologiques, tout comme les aliments non biologiques, sont nutritifs et peuvent être consommés sans danger dans le cadre d’une saine alimentation basée sur le Guide alimentaire canadien. Plusieurs facteurs influencent la valeur nutritive des aliments, entre autres l’endroit où ils ont été produits, entreposés ou expédiés, la façon dont ils l’ont été, et même le mode de cuisson. Ainsi, les aliments biologiques peuvent contenir une quantité de nutriments supérieure, égale ou inférieure à celle contenue dans les aliments non biologiques. De plus, la culture et la production des aliments biologiques ou non biologiques sont soumises à une règlementation très stricte pour assurer qu’ils sont sans danger pour les consommateurs. L’achat d’aliments biologiques est un choix personnel.

2. Il faut éviter les glucides si l’on veut perdre du poids
La vérité : Les glucides comprennent les sucres simples (sucre, sirop, etc.) ainsi que les sucres complexes (amidon des farines qui est le constituant principal des pâtes, riz, pommes de terre, etc.). Diminuer sa consommation de glucides peut aider à perdre du poids à court terme, mais cette perte sera en grande partie due à une diminution de la quantité de nourriture et de calories consommées. En diminuant radicalement sa consommation de glucides, on se prive des bienfaits nutritionnels qu’offrent des choix santé tels les grains entiers, les fruits, les légumes farineux et les légumineuses. Il peut être difficile d’adopter un régime alimentaire à faible teneur en glucides pendant longtemps parce que beaucoup d’aliments y sont interdits. Pour perdre du poids et ne pas le reprendre, faites de l’exercice régulièrement et suivez le Guide alimentaire canadien pour avoir une alimentation équilibrée.

3. Le grignotage en fin de soirée vous fera prendre du poids
La vérité : Le grignotage en fin de soirée peut entrainer un gain de poids, mais ce n’est pas à cause de l’heure qu’affiche l’horloge. Le vrai problème est que le grignotage après le souper peut vous amener à manger plus de calories que ce dont votre corps a besoin dans une journée, particulièrement si vous consommez des grignotines avec sucre ajouté à forte teneur en calories. Si vous avez habituellement faim en soirée, essayez de souper un peu plus tard. Encore faim? Buvez de l’eau avec un trait de jus de citron ou de jus d’orange, prenez de petites portions d’aliments comme du yogourt, des céréales à grains entiers avec du lait partiellement écrémé ou du maïs soufflé nature.

4. Suivre le Guide alimentaire canadien fait prendre du poids : on y recommande de manger trop d’aliments.
La vérité : Le nombre de portions recommandé par le GAC est la quantité moyenne d’aliments que la majorité des gens devraient essayer de manger chaque jour. En fonction de vos besoins individuels, par exemple de votre niveau d’activité physique, vous pourriez avoir besoin de choisir plus ou moins d’aliments. Les types d’aliments que vous choisissez sont aussi importants que les quantités que vous consommez. Le GAC recommande d’avoir une alimentation variée et de limiter la consommation d’aliments et de boissons riches en calories, en gras et en sel. Choisissez des aliments de chaque groupe alimentaire et des quantités qui vous conviennent.

5. Il faut prendre des suppléments de vitamines et minéraux pour être en santé
La vérité : Les suppléments ne peuvent pas remplacer les bienfaits des aliments sains et nutritifs, ni fournir des nutriments comme les fibres, les protéines et les gras essentiels. La plupart des adultes en bonne santé peuvent combler leurs besoins en vitamines et en minéraux en suivant le Guide alimentaire canadien. Toutefois, à certains moments dans la vie, il se peut que vous ayez besoin de suppléments. Par exemple, le GAC recommande aux adultes de plus de 50 ans de prendre 400 UI de vitamine D chaque jour. Les femmes susceptibles de devenir enceintes, qui sont enceintes ou qui allaitent devraient prendre chaque une multivitamine qui contient de l’acide folique. Avant de prendre quelque supplément que ce soit, consulter votre médecin ou votre diététiste/nutritionniste.

6. Tout le monde devrait adopter un régime alimentaire sans gluten
La vérité : Suivre un régime sans gluten est la seule façon santé de manger pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque, mais ce type de régime n’est pas nécessaire pour tout le monde. Le gluten est un type de protéine présent dans les produits céréaliers comme le blé, le seigle et l’orge. À moins que vous ayez la maladie cœliaque, une sensibilité au gluten ou une allergie à l’un de ces produits céréaliers, vous n’avez pas à les éviter. Que vous choisissiez des produits céréaliers sans gluten (comme le maïs, le riz, le millet ou le quinoa) ou non, consommer davantage de grains entiers constitue un choix santé.

7. Comme le sel de mer est naturel, il est plus santé que le sel blanc.
La vérité : Les sels de mer, casher et gourmet ont environ la même teneur en sodium que le sel blanc régulier. Consommer trop de sodium peut nuire à votre santé. Les différences entre le sel de mer et le sel blanc sont le goût, la texture et le procédé de fabrication. Le sel blanc est extrait d’anciens lacs salés asséchés. Certains sels blancs comprennent de l’iode, un nutriment qui aide à prévenir la maladie thyroïdienne. Le sel de mer est fait d’eau de mer évaporée, et son goût diffère selon sa provenance. Peu importe le sel que vous choisissez, utilisez-en moins. Pour donner plus de saveur à vos aliments, arrosez-les de jus de citron ou ajoutez des fines herbes ou des épices.

La viande rouge, un danger pour la santé ‎


Consommer régulièrement de la viande rouge "augmente considérablement le risque de décès par maladie cardiaque", indique une étude américaine menée par la Harvard School of Public Health à Boston. D'après les observations des scientifiques, manger deux tranches de bacon par jour augmenterait les risques de maladies cardiaques de 21%. Les risques de développer un cancer, lui, augmenterait de 16%.

Quelque 120.000 hommes et femmes ont été suivis pendant 30 ans. Durant l'étude, 24.000 volontaires sont décédés. Les scientifiques ont estimé qu'entre 7,6 et 9, 3% des décès auraient pu être évités en adoptant un autre régime alimentaire. "Cette étude fournit des preuves claires que la consommation régulière de viande rouge, surtout la viande traitée, contribue de manière substantielle à des décès prématurés", explique le Professeur Franck Hu.

Il continue: "En outre, choisir des sources de protéines plus saines que la viande rouge conférerait des avantages importants pour la santé, en réduisant la morbidité des maladies chroniques et le taux de mortalité." En effet, l'étude a démontré que remplacer une portion de viande par une portion similaire de poisson réduit le risque de mortalité de 7%.  Les légumineuses et produits laitiers pauvres en matières grasses réduisent ce risque de 10% et les noix de 19%.

Le World Cancer Research Fund (WCRF) recommande de limiter la consommation de viande à 500 grammes par semaine et par personne. Le Dr Rachel Thompson de la WCRF indique au Daily Mail: "L'étude démontre que des vies peuvent être sauvées si les gens remplaçaient la viande rouge par des sources de protéines saines comme le poisson, la volaille, les noix et les légumineuses. Nous aimerions que plus de gens optent pour ce type d'aliments."

Manger trop gras, pas sans danger pour la fertilité


Une étude américaine publiée ce mercredi par le journal européen spécialisé Human Reproduction., qu’avoir une alimentation trop riche en graisses pourrait affecter la qualité du sperme. Elle indique également que les hommes qui consomment le plus d'oméga 3, type d'acides gras que l'on trouve dans les poissons et certaines huiles végétales, ont un peu plus de spermatozoïdes de forme normale, que ceux qui en mangent le moins.

Consommation de graisses saturées et fertilité
Trop de graisses alimentaires entrainent un sperme « déficitaire » : Les participants à consommation de graisses la plus élevée présentent un nombre de spermatozoïdes réduit de 43% et une concentration du sperme réduite de 38% vs les participants à plus faible consommation de graisses.

L'étude révèle que la relation entre les graisses alimentaires et la qualité du sperme est essentiellement associée à la consommation de graisses saturées. Les hommes qui consomment les graisses les plus saturées ont un déficit de 35% du nombre total de spermatozoïdes et de 38% de concentration de spermatozoïdes que les hommes qui en consomment le moins.

Les chercheurs constatent aussi que les hommes qui consomment plus d’acides gras oméga-3 polyinsaturés (présent en particulier dans les huiles de poissons et de plantes) ont une meilleure qualité de sperme que les hommes qui en consomment moins (1,9% de sperme en plus).

Un effet réversible
Mais heureusement, l’effet sur le sperme est réversible avec une restriction des acides gras saturés : L’auteur principal, le Pr Jill Attaman, chercheur en endocrinologie de la reproduction et de l’infertilité au Massachusetts General Hospital et professeur d’obstétrique, de gynécologie et de biologie de la reproduction à la Harvard Medical School précise: "Si les hommes modifient leur régime alimentaire en réduisant leurs apports de graisses saturées et en augmentant leurs apports en oméga-3, l’effet est alors une amélioration de la santé générale comme de la santé reproductive ». ...