samedi 28 mai 2011

Menthe


La menthe poivrée et la menthe verte sont les deux espèces les plus utilisées et les mieux connues. Elles ont des effets similaires. Bien que la menthe poivrée soit plus savoureuse et plus puissante.
La menthe verte est à l’origine des différentes espèces. Et n’est qu’à partir de la fin du XVII siècle que l’on a commencé à les différencier. Auparavant, il n’était question que de menthe, tout simplement.
Les Grecs et les Romains ajoutaient de la menthe au lait pour le conserver et en servaient après les repas comme digestif. Le médecin grec Dioscoride la considérait comme un aphrodisiaque.
Chez les Chinois et les Indiens, la menthe était à la fois un tonique, un digestif et un traitement contre le rhume, la grippe et la fièvre.
Ses avantages
Le menthol contenu dns la menthe assouplit les muscles de système digestif et permet ainsi de mieux digérer. Selon des études allemandes et russes, il prévient les ulcères et stimule la sécrétion de la bile.
Son action anesthésique ne fait pas de doute. Voilà pourquoi on ajoute du menthol dans plusieurs produits recommandés pour soulager les coups de soleil.
On ajoute également du menthol dans plusieurs vaporisateurs pour soulager les symptomes de congestion nasale et des sinus.
L’action bienfaisante de la menthe sur le système digestif vaut aussi pour le système utérin de la femme, auquel il procure un apaisement. La menthe serait appropriée pour combattre les nausées matinales chez la femme enceinte.
Mise en garde
La menthe ne présente pas de problème d’ingestion. Toutefois, l’huile essentielle de menthe, le menthol, est considérée comme poison. On ne doit pas en consommer à l’état pur.
Son utilisation
Pour les blessures, les brulurs, les écorchures, appliquez quelques gouttes d’huile esentielle de menthe directement sur la peau.
pour une infusion décongestionnante ou digestive, utilisez de 5 à 10 mL de feuilles séchées dans 250 mL d’eau bouillante. Laissez reposer 10 minutes.
Pour un bain aux effets apaisants, enrobez des feuilles dans un linge propre et laissez tremper dans l’eau.

Réf : dictionnaire des plantes médicinales, DANIEL JOURDAIN

Hormone de croissance : un scandale scientifique et humain


117 morts, c’est le triste bilan, établi à ce jour, de ce que l’on nomme désormais « le scandale de l’hormone de croissance »
Comment, entre 1982 et 1986, en France, des enfants traités avec une hormone spécifique, prescrite pour des troubles de croissance, ont-ils pu etre contaminés par la maladie de Creutzfilt-Jakob ? c’est ce qu’a tenté de déterminer le procès qui s’est achevé en janvier dernier par la relaxe de six prévenus, médecins et chefs de service en responsabilité au moment des faits. Un verdict qui ne satisfait personne, et surtout pas les familles des victimes.
Des faits accablants. Au début des années 80, les parents d’enfants atteints de nanisme ou de très petite taille se voyaient proposer un traitement présenté comme miraculeux.
Une cure à base d’injections d’hormones dites de croissance collectées sur des cadavres puisque l’on ne savait pas alors fabriquer des hormones de synthèse. Les enfants gagnent effectivement quelques centimètres mais le jeu en vaut-il la chandelle ? C’est en 1991 que l’alerte est donnée par les parents d’un enfant qui a contracté la maladie de Creutzfeldt Jakob après avoir suivi un traitement à l’hormone de croissance ils portent plainte avant même que la mort ne frappe leur fils, après de terribles souffrances. Hélas, on ne tarde pas à s’apercevoir que ce cas est loin d’être isolé. Le décompte macabre fait aujourd’hui état de 117 morts dues aux même causes.
Une suite de comportements irresponsables
Tandis que d’autres patients ayant aussi subi le traitement dans la période à risque (de 1982 à 1986) se demandent encore si la maladie de Creutzfeldt-Jakob ne se cache pas au fond d’eux. La justice s’empare de l’affaire, l’instruction est patiemment menée par la juge Marie-Odile Berthella-Geffroy durant seize ans.
Elle n’est pas vraiment faite pour conforter ceux qui voudraient croire en la qualité et l’honnêteté de la médecine de notre pays. Elle met en effet au jour un système ou la logique du profit semble prévaloir sur la sécurité des maladies. Une suite de comportements irresponsables, du plus bas au plus haut niveau, qui fait singulièrement penser à la tristement fameuse affaire du sang contaminé.
Il est aujourd’hui établi que la collecte des hypophyses contenant les hormones de croissance s’effectuait de façon extrêmes risquée, voire artisanale, dans les morgues ou les hôpitaux. Et ceci souvent par des employés qui ne se soucient que d’augmenter ainsi leur salaire.
De surcroit, les médecins responsables n’écoutent pas les avertissements sur les dangers de telles pratiques.
Ils ne retranchent derrière leu prétendu savoir et continuent d’affirmer que les modes d’extraction des hormones ne présentent aucun risque. Pourtant, ils auraient du tenir compte de la mort d’un américain traité à l’hormone de croissance en 1984. Ce qui entrainera l’année suivante la plupart des pays occidentaux, Grande-Bretagne et Etats-Unis compris, à interdire l’extraction de l’hormone sur des cadavres. La France, elle, attendra encore trois ans !
Responsables, mais pas coupables
Pire, le professeur Luc Montagnier, autorité reconnue dans le monde médical, ne sera pas entendu lorsqu’il mettra en avant les risques du traitement… responsables, mais pas coupables ?
Il est vrai que les avertissements se heurtent à des attitudes fermées refusant de remettre en cause des connaissances médicales érigées en dogmes. Et, il faut bien le dire aussi, des intérêts financiers conséquents dont profite l’association chargée de  la collecte des hypophyses, le laboratoire  qui les fabriquait et les instances étatiques responsables de la pharmacie et du médicament.
Mais la ténacité de la juge Marie-Odile Berthella-Geffroy lui permet d’inculper, malgré la disparition de dossiers compromettants,  six médecins et pharmaciens ayant eu d’importantes responsabilités dans la prescription et la collecte des hypophyses. Elle les accuse « d’homicides involontaires et de tromperies aggravés » Jean-Claude Job, président de France Hypophyse (association qui s’occupait de la collecte des hormones) à qui l’on reproche d’avoir poussé à l’accroissement  des prélèvements, au sein même d’établissements à risques est décédé avant le procès. Mais sur le banc des accusés, on trouve : Fernand Dray, biochimiste responsable de l’extraction et de la purification de l’hormone dans son labo de l’institut Pasteur ou, selon l’enquête. « Les règles élémentaires de prudence faisaient défaut ». Henri Cerceau, directeur de la pharmacie centrale des hôpitaux de 1981 à 1991. Il est soupçonné de ne pas avoir respecté les règles de sécurité en vigueur. Marc Mollet, chef du service de la distribution aux particuliers est lui aussi accusé de manque de vigilance Jacques Dangoumau, directeur de la pharmacie et du médicament au ministère de la santé de 82 à 87 et membre du Conseil d’administration de France hypophyse, est accusé de négligences. Elisabeth Mugnier, pédiatre responsable de la collecte des hypophyses dans les hôpitaux, est accusée d’avoir cherché à multiplier le nombre de prélèvements « au détriments de la qualité et de la sécurité ». Micheline Gourmelen, médecin est accusée d’avoir contribué à la mort du jeune Sébastien Birolo en 97. Pour lui avoir prescrit « sans raison médicale » de l’hormone de croissance.
Un nouveau jugement rendra-t-il justice aux failles des victimes
Cependant, le verdit rendu par la justice est discutable Malgré la gravité des faits, l’instruction accablante pour les accusés, la justice française choisit de prononcer la relaxe. Le tribunal estime que l’enquête « ne permet pas d’affirmer que ceux qui participaient au cycle d’élaboration et de distribution de l’hormone de croissance avaient conscience à partir de 1980  d’exposer les malades au risque de contamination par la maladie Creutzfeldt-Jakob ».
Maigre consolation pour les familles des victimes, la justice retient une responsabilité civile pour Elisabeth Mugnier et Fernand Dray. Ils devront verser des dommages et intérêts. Jeanne Goerrian, présidente de l’association des victimes n’a pas hésité à qualifier ce verdit de « scandale ».
Le parquet a décidé de faire appel de la relaxe de Fernand Dray. Marc Mollet et Elizabeth Mugnier contre qui le procureur avait réclamé des peines assorties d’emprisonnement avec sursis. Un nouveau jugement rendra-t-il justice aux familles des victimes ?
Réf : science magazine, pages 72.73, mai 2011

Les probiotiques effets des probiotiques sur la santé



Les cartons alimentaires ne sont pas sans reproche

Les cartons alimentaires ne sont pas sans reproche : comme le montre l’étude Suisse réalisée par des chercheurs du Food safety laboratory de Zurich, les huiles minérales présentes dans les encres sont souvent en cause.
L’entreprise américaine Jordans, qui commercialise des céréales pour petit déjeuner, a décidé de ne plus emballer ses produits avec des cartons issus des filières de recyclage.
Pourquoi ?
Parce-qu’on aurait détecté des résidus d’encre, des composés chimiques, dans le carton recyclé dans les emballages alimentaires.
Des résidus d’encre dans les emballages
Or ces résidus pourraient contaminer les aliments, même s’ils sont protégés par des sachets en plastique. D’où la décision de Jordans d’utiliser à nouveau du carton neuf pour ses emballages.
En luttant contre ces composants utilisés notamment dans les encres d’impression des emballages, Weetabix, Kellogg’s et Jordans veulent éteindre une polémique née en Grande-Bretagne en 2010 et en Suisse où Coop et Lidl ont décidé de retirer certains produits de leurs rayons.
D’autres fabricants étudient l’utilisation d’un renforcement des paquets en cartons recyclés afin d’éviter les infiltrations potentielles ou encore l’utilisation d’encres « à migration lente ».

Dépolluer votre cuisine par les plantes


La cuisine et ses sources de pollution
La cuisine est un endroit névralgique de la maison car on y trouve une concentration de produits et d’appareils très importante. C’est aussi là que l’on stocke la nourriture…autant de raisons pour s’assurer d’une bonne qualité de l’air intérieur.
Suivant l’aménagement de la maison ou de l’appartement, la cuisine communique avec la salle à manger ou forme au contraire un espace très restreint et fermé qui peut s’isoler des autres pièces de la maison.
La façon dont la cuisine est aménagée, meublée, décorée dépend de la manière de vivre des occupants de la maison. La qualité de l’air qui régnera dans l’atmosphère sera plus ou moins polluée selon le mode de vie de chacun.
Le mobilier et l’installation
Prenons un exemple. Vous venez d’installer votre cuisine aménagée ; si vous avez utilisé des panneaux de particules pour réaliser les armoires ou les plans de travail, assurez-vous qu’ils ont bien été recouverts de stratifié et que toutes les surfaces ainsi que les chants ont été traités pour réduire les émanations de composés organiques volatils, polluants de l’air intérieur.
La commercialisation des panneaux de particules, lancés sur le marché en 1940, a été rendue possible par leur assemblage au moyen de colles chimiques (urée-formol ou phénol-formol) remplaçant les colles végétales et animales, qui connaissaient une pénurie au moment de la seconde Guerre mondiale.
Ayant découvert les effets nocifs du formaldéhyde dégagé par ces colles, les fabricants ont fait d’énormes progrès depuis plusieurs années. Les taux excessifs de formaldéhyde relevés ces dernières décennies ne sont normalement plus qu’un lointain souvenir, depuis l’arrêté du 23 mai 2003 de la communauté européenne qui oblige les fabricants à produire des matériaux faiblement émissifs. Rappelons que le formaldéhyde est considéré comme un cancérigène certain pour l’homme par le Centre international de recherches contre le cancer.
La haute de cuisine doit bien sur être efficace. Cuisiner implique la production de vapeur d’eau et d’odeurs. Par ailleurs, si le cuisinier est étourdi, les aliments qui brulent produiront du monoxyde de carbone, et la hotte sera dans ce cas bien utile pour évacuer les gaz polluants issus d’une combustion incomplète.
Les appareils électroménagers
 Tous les appareils électriques émettent des ondes électromagnétiques quand ils fonctionnent. Soucieuse de la protection de l’environnement, la loi réglemente ces émissions et impose aux constructeurs des normes. Les appareils électroménagers sont de moins en moins gourmands en énergie, donc en électricité, et de plus en plus silencieux.
Si votre cuisine est grande, ne concentrez pas tous les appareils au même endroit, mais installez-les si possible sur un même sur un même pan de mur pour éviter aux ondes de se croiser. Eviter d’en faire fonctionner beaucoup en même temps, en particulier quand il y a des enfants dans la pièce, et éloignez ces derniers des appareils électriques.
Les revêtements de sol
 Dans la cuisine, le choix du sol s’opère en fonction de sa facilité d’entretien. Parmi les revêtements les plus utilisés, on trouve généralement un sol carrelé en roche, des carreaux de terre cuite ou un revêtement plastique. Préférez au plastique le linoléum, en vérifiant que celui-ci est bien fabriqué à partir d’huile de lin et qu’il ne contient pas de plastique ni de PVC.
Certains carrelages sont collés sur des revêtements existants, et la colle utilisée peut contenir des solvants à base de formaldéhyde. Pour ces types de carrelages, des joints étanches limiteront les émissions de composés organiques volatils.
Méfiez-vous de certains revêtements en PVC, qui contiennent parfois des plastifiants émettant des phtalates dangereux pour la santé. Privilégiez le PVC semi-flexible ou le PVC homogène complet.
La solution la moins polluante est l’utilisation de terre cuite posée sur une chape en béton avec des joints en ciment.
Les habitudes de vie
Les emballages
Dans la cuisine, au retour des courses, l’espace est rempli d’emballages en carton ou en papier imprimés de multiples couleurs. Les encres utilisées et les cartons encollés participent eux aussi aux émissions de formaldéhyde.
La solution est simple : enlevez le maximum d’emballages entourant les produits avant de les mettre dans votre réfrigérateur ou dans vos placards, et jetez régulièrement dans le conteneur de tri sélectif cartons et emballages.
Les produits d’entretien
Dans la plupart des cuisines, le sol est facilement lavable, et il est si rapide de passer la serpillière que bon nombre d’entre nous aiment à apporter une hygiène parfaite à cette pièce. Cependant, n’abusez pas des détergents et ne surdosez pas les produits d’entretien. Une étude menée par la Commission européenne sur les politiques nationales en environnement a montré que les français avaient tendance à surdoser les produits de nettoyage ou de bricolage employés. Or ces produits contiennent souvent du formaldéhyde et de l’ammoniac.
Les plantes dépolluantes de la cuisine
La cuisine est une pièce ou l’on passe parfois beaucoup de temps et il est important de bien « végétaliser » cette partie de la maison, même si la place ne le permet pas toujours.
Pour absorber l’ammoniac
Nous avons retenu deux plantes pour absorber l’ammoniac que laissent évaporer certains produits d’entretien plus particulièrement utilisés dans la cuisine pour nettoyer les éviers et les sols carrelés.
Le rhapis est un palmier d’Asie peu gourmand en lumière et qui pousse très lentement. Ses feuilles au bout cranté ont tendance à sécher dans les atmosphères trop sèches. L’hygrométrie que l’on rencontre dans la cuisine lui conviendra parfaitement. En revanche, dans une cuisine, les feuilles des plantes auront tendance à devenir poisseuses ou grasses, il faudra donc les nettoyer régulièrement.
L’anthurium, avec ses feuilles robustes et vernissées, convient également pour une cuisine et agrémentera volontiers cet espace de vie avec ses nombreuses fleurs colorées, à condition bien sur de lui apporter suffisamment de lumière.
Pour absorber le formaldéhyde
Parmi les plantes testées par la NASA, le chrysanthème et le gerbera font partie des plantes les plus efficaces pour absorber le formaldéhyde. Ce sont deux plantes éphémères qui peuvent être remplacées souvent et qui conviennent bien sur les rebords intérieurs des fenêtres de cuisine.
Le gerbera est plus connu sous forme de fleurs coupées, mais on le cultive aussi en pot. Très efficace pour éliminer le formaldéhyde, il a aussi fait ses preuves dans l’élimination du benzène et du trichloréthylène dégagés par les solvants contenus dans certaines peintures lavables que l’on utilise plus particulièrement dans les cuisines.
Le chrysanthème appelé « chrysanthème dirigé » se cultive toute l’année chez les horticulteurs et peut également avoir sa place dans une cuisine. C’est une utilisation nouvelle pour cette jolie plante aux fleurs de « marguerite » dédiée à la floraison des tombes à la Toussaint. Ses couleurs sont très variées, et il est possible en fin de floraison de la replanter au jardin.
Si la place le permet et si la luminosité est suffisamment importante, vous pouvez installer un figuier pleureur ou ficus benjamina pour lutter contre le formaldéhyde dégagé par les panneaux de particules ou les bois agglomérés des cuisines aménagées.
L’été, quand votre cuisine se transporte sur votre terrasse, déplacez avec vous votre ficus en l’installant à l’ombre d’un arbre, arrosez-le régulièrement et rentrez-le avant les gelées.
Pour absorber le xylène et le benzène
Si la cuisine est un lieu parfois restreint, c’est aussi un espace de travail, et en aucun cas les gestes réalisés pour préparer un repas ne doivent être gênés par les plantes. Choisissez donc des plantes au port était comme les dracaenas, qui sont des plantes sur tronc et assez longilignes.
Le dracaena ‘Janet Craig’ (vert uni) ou le dracaena ‘Wameckii’ (panaché de vert et de blanc) et meme le dracaena marginé (panaché vert et bordeaux) sont trois plantes sur tronc qui ont montré leur efficacité à absorber le benzène et le xylène, ces composés organiques volatils parfois présents dans les parfums d’ambiance et les désodorisants utilisés en cuisine pour masquer les odeurs.
Pensez à utiliser votre hotte pendant la cuisson pour éviter les odeurs, vérifiez le bon fonctionnement de la VMC et utilisez l’un ou l’autre de ces trois dracaenas, ils sont d’autant plus intéressants qu’ils ne sont pas gourmands en lumière.
Pour absorber le monoxyde de carbone
Celui-ci peut être dégagé par une cuisinière à gaz : si vous utilisez un tel appareil, choisissez le pothos ou le chlorophytum (ou plante araignée), plus efficace encore.
Pour absorber les ondes électromagnétiques
Actuellement, le cactus colonnaire (cereus peruvianus) est la seule plante reconnue par plusieurs chercheurs comme dotée de la capacité d’absorber les ondes électromagnétiques. Mais il n’est pas interdit de penser que d’autres cactées ou succulentes, voire d’autres familles de plantes, le peuvent également.
 

Amande

Ses avantages :
L’amande constitue une solution de remplacement intéressant et naturelle aux savons et aux shampoings commerciaux. Son huile possède des qualités indéniables pour revitaliser la chevelure et adoucir la peau.
D’autre part, l’huile d’amande, utilisée en cuisine, aide à diminuer le taux de cholestérol sanguin.

Mise en garde :
L’usage externe de l’amande est sans danger. Toutefois, si vous etes sujet aux allergies, il est préférable d’en faire l’essai sur une petite partie du corps pour observer d’éventuelles réactions.
De meme, en cuisine, utilisez d’abord une dose minime. Si vous n’en ressentez aucun incovénient, vous pouvez en consommer sur une base régulière.

Son utilisation :
Commercialement, on retrouve l’amande entière ou sous forme d’huile, de lotion ou de beurre. Broyée et additionnée d’un peu de lait pour en faire une pate homogène, l’amande entière constitue un excellent masque de beauté pour adoucir la peau du visage. Il suffit de l’appliquer uniformément sans tenter de la faire pénétrer puis de la conserver une trentaine de minutes.

Réf : des plantes médicinales, DANIEL JOURDAIN