Une étude américaine publiée ce mercredi par le journal européen spécialisé Human Reproduction., qu’avoir une alimentation trop riche en graisses pourrait affecter la qualité du sperme. Elle indique également que les hommes qui consomment le plus d'oméga 3, type d'acides gras que l'on trouve dans les poissons et certaines huiles végétales, ont un peu plus de spermatozoïdes de forme normale, que ceux qui en mangent le moins.
Consommation de graisses saturées et fertilité
Trop de graisses alimentaires entrainent un sperme « déficitaire » : Les participants à consommation de graisses la plus élevée présentent un nombre de spermatozoïdes réduit de 43% et une concentration du sperme réduite de 38% vs les participants à plus faible consommation de graisses.
L'étude révèle que la relation entre les graisses alimentaires et la qualité du sperme est essentiellement associée à la consommation de graisses saturées. Les hommes qui consomment les graisses les plus saturées ont un déficit de 35% du nombre total de spermatozoïdes et de 38% de concentration de spermatozoïdes que les hommes qui en consomment le moins.
Les chercheurs constatent aussi que les hommes qui consomment plus d’acides gras oméga-3 polyinsaturés (présent en particulier dans les huiles de poissons et de plantes) ont une meilleure qualité de sperme que les hommes qui en consomment moins (1,9% de sperme en plus).
Un effet réversible
Mais heureusement, l’effet sur le sperme est réversible avec une restriction des acides gras saturés : L’auteur principal, le Pr Jill Attaman, chercheur en endocrinologie de la reproduction et de l’infertilité au Massachusetts General Hospital et professeur d’obstétrique, de gynécologie et de biologie de la reproduction à la Harvard Medical School précise: "Si les hommes modifient leur régime alimentaire en réduisant leurs apports de graisses saturées et en augmentant leurs apports en oméga-3, l’effet est alors une amélioration de la santé générale comme de la santé reproductive ». ...
Consommation de graisses saturées et fertilité
Trop de graisses alimentaires entrainent un sperme « déficitaire » : Les participants à consommation de graisses la plus élevée présentent un nombre de spermatozoïdes réduit de 43% et une concentration du sperme réduite de 38% vs les participants à plus faible consommation de graisses.
L'étude révèle que la relation entre les graisses alimentaires et la qualité du sperme est essentiellement associée à la consommation de graisses saturées. Les hommes qui consomment les graisses les plus saturées ont un déficit de 35% du nombre total de spermatozoïdes et de 38% de concentration de spermatozoïdes que les hommes qui en consomment le moins.
Les chercheurs constatent aussi que les hommes qui consomment plus d’acides gras oméga-3 polyinsaturés (présent en particulier dans les huiles de poissons et de plantes) ont une meilleure qualité de sperme que les hommes qui en consomment moins (1,9% de sperme en plus).
Un effet réversible
Mais heureusement, l’effet sur le sperme est réversible avec une restriction des acides gras saturés : L’auteur principal, le Pr Jill Attaman, chercheur en endocrinologie de la reproduction et de l’infertilité au Massachusetts General Hospital et professeur d’obstétrique, de gynécologie et de biologie de la reproduction à la Harvard Medical School précise: "Si les hommes modifient leur régime alimentaire en réduisant leurs apports de graisses saturées et en augmentant leurs apports en oméga-3, l’effet est alors une amélioration de la santé générale comme de la santé reproductive ». ...
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