Dans notre société de plus en plus soucieuse des besoins
nutritionnels de nos enfants, qui n’a pas culpabilisé parce que son
aîné(e) mange peu ? Qui n’a pas piqué une colère contre le petit dernier
qui refuse d’avaler des légumes ? Qui n’a pas été désemparé face aux
recommandations alimentaires de plus en plus abondantes ?
« L’alimentation est un champ qui est souvent soit surinvesti soit
laissé à l’abandon par les parents, estime Laurence Haurat, psychologue
et nutritionniste. A tel point que les repas peuvent devenir un enfer,
notamment pour la mère, le lien nourricier étant le premier lien qui
s’établit entre elle et son enfant. Si la question de la nourriture
inquiète tant, c’est sans doute parce qu’elle cache des projections plus
ou moins conscientes, des fragilités éducatives, mais aussi des
incertitudes sur la capacité des parents à répondre au besoin le plus
primaire, le plus absolu, le plus naturel des enfants : manger. »
Dans son livre C’est l’enfer à table, paru aux éditions
Eyrolles, Laurence Haurat passe en revue les problèmes liés à
l’alimentation des enfants et les éclaire de façon déculpabilisante. Les
parents y trouveront de quoi relativiser pour transformer les repas en
moments de jeux, de découvertes et de partages avec leurs progénitures.
Enfant difficile, comportement régressif à table, refus de boire de
l’eau pendant les repas… Laurence Haurat répond aux témoignages de trois
internautes de Psychologies.com
"Ma fille de trois ans ne veut plus manger seule"
Gwen, 21 ans.
« Ma fille de trois ans ne veut plus manger seule. Elle joue
pendant les repas, dit que ce n’est pas bon ou qu’elle a mal au ventre
pour ne pas manger, sort sans cesse de table… Cela dure depuis l’arrivée
de sa petite sœur qui a maintenant 7 mois. J’en ai assez de la punir ou
de la laisser faire. »
L’avis de Laurence Haurat : "Cette petite fille a besoin
d’être rassurée. En refusant de manger seule, elle tente de capter
l’attention. Sa petite sœur a 7 mois, c’est-à-dire l’âge de la
diversification alimentaire, un moment où les parents s’émerveillent dès
que l’enfant mange un nouvel aliment. Votre attention s’est donc
détournée d’elle, qui sait manger seule, vers sa petite sœur.
Expliquez-lui que vous avez fait exactement la même chose avec elle
quand elle était bébé. Il faut ensuite lui redonner sa place et la
valoriser à son tour. Quand elle mange deux bouchées, dites-lui que
c’est bien, que vous êtes fiers d’elle.
Enfin, rappelez-lui les règles : elle est autorisée à sortir de table
seulement quand elle n’a plus faim. Si elle quitte la table, c’est donc
définitif. Ce n’est pas grave si elle ne mange qu’une partie du plat ou
si elle refuse le dessert. En revanche, ne compensez surtout pas en lui
proposant quelque chose qu’elle adore à la place de ce que vous aviez
prévu initialement. Sinon, elle aura gagné sur tous les plans : elle
n’aura pas respecté vos règles et, en plus, elle aura fini par manger ce
qu’elle voulait. Faites la différence entre ce que vous pouvez tolérer,
par exemple le refus de manger des morceaux au profit de la purée, il
n’y a rien d’inquiétant à cela, et ce qui n’est pas admissible, comme
jeter son assiette par terre ou cracher des aliments. Tenez-vous aux
limites que vous avez fixées."
"Mon fils de huit ans adore les sodas, le sucré, les frites… Je ne sais pas lui dire non"
Isabelle, 36 ans.
« Mon fils de huit ans adore les sodas, le sucré, les frites… Je
ne sais pas lui dire non. Il refuse par exemple de boire de l’eau à
table et ne veut que très rarement manger des fruits ou des yaourts en
dessert. Par contre, il se goinfre de pain. »
L’avis de Laurence Haurat : "Tout vient de votre incapacité à
dire non. Il faut que vous recherchiez pourquoi vous avez ce problème
d’autorité. Pour cela, je vous conseille de consulter pour en comprendre
l’origine dans votre propre histoire. Par ailleurs, l’alimentation est
un champ qui mélange l’affectif et le nutritif, il faut donc savoir
faire preuve de souplesse mais aussi savoir imposer vos règles.
N’abordez pas la question à table, vous risqueriez de rentrer en
conflit avec votre fils et le repas va mal tourner. Il y a un temps pour
tout. Faites un conseil de famille avec le père et vos autres enfants
le cas échéant. Mettez-vous d’accord avec votre mari au préalable pour
tenir le même discours. Expliquez alors quelles sont dorénavant les
règles à suivre pour toute la famille et les sanctions pour ceux qui ne
les respecteront pas.
Première étape par exemple : l’eau est la seule boisson autorisée à
table. Il peut s’agir d’eau plate ou pétillante. Tenez-vous à cette
règle sur la durée. Et autorisez ensuite par exemple le soda à
l’apéritif. Faites ensuite de même avec les autres aliments qui posent
problème pour en maîtriser la consommation."
J'ai longtemps ressenti un lien particulier avec la phytothérapie. Tout d’abord, c’est naturel, Charlie a fréquenté le même petit collège du sud de la Californie - le Claremont Men’s College - bien qu’il ait abandonné ses études pour s’inscrire à la Julliard School of the Performing Arts à New York. S'il avait séjourné à Claremont, il aurait été senior l'année où j'ai commencé là-bas; Je me suis souvent dit que c'était la raison pour laquelle il était parti quand il a découvert que j'avais l'herpès. Donc, ma vie a été solitaire, toute la journée, je ne pouvais pas supporter la douleur de l'épidémie, puis Tasha me présente au Dr Itua qui utilise ses médicaments à base de plantes pour la guérir de ses deux semaines de consommation. Je passe une commande à lui et il la remet à mon bureau de poste, puis je la récupère et l'utilise pendant deux semaines. Toute ma plaie est guérie complètement plus aucune épidémie. Je vous dis honnêtement que cet homme est un grand homme, je lui fais confiance La phytothérapie tellement que je partage cela pour montrer ma gratitude et aussi pour faire savoir aux personnes malades qu’il ya de l’espoir avec le Dr Itua. Phytothérapie à base de plantes.Dr Itua Contact Email.drituaherbalcentergmail.com,/ info@drituaherbalcenter.com Whatsapp...+2348149277967
RépondreSupprimerIl guérit.
Herpès,
ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL.
Hépatite
H.P.V TYPE 1 TYPE 2 TYPE 3 ET TYPE 4. TYPE 5.
HIV
SYPHILIS.
Foie / Rein Inflammatoire
Épilepsie